
Je t’aime moi non plus de Max Heratz
Wélia est une jeune femme qui passe plus de temps au travail qu’ailleurs. En couple avec un homme/enfant inséparable de sa Play, ils ne se passionnent ni l’un ni l’autre pour les plaisirs charnels.
Un beau jour, elle découvre avec stupeur le blog Bdsm d’un homme qui y raconte ses aventures. Attirée comme un aimant par ses récits qu’elle ne cesse de parcourir, elle entame un échange de courriers avec lui et très vite en tombe amoureuse. Ne voulant pas perdre son temps avec une jeune oie blanche qui n’est pas de son monde, ce dernier repousse ses avances. Mais c’est sans compter sur la ténacité de cette dernière qui saura se montrer si persuasive qu’il lui sera difficile de lui résister. Il se décidera finalement à la prendre en main pour mieux la pervertir et l’annihiler.
Mais qui va entraîner l’autre toujours plus loin dans la luxure ? Les sentiments amoureux qu’éprouvent Wélia vont rapidement se transformer en une aliénation absolue. Prête à tout, elle suivra son mentor les yeux fermés, sans aucune limite, sur les chemins du vice et de l’indécence.
Auteur Max Heratz
ISBN papier 9791093167435 – ISBN eBook 9782954631912
Grand format 16 x 24 – 432 pages – Prix : 23.90.€
Quelques mots sur l’auteur
Max Heratz fut bercé très tôt par les mots et leurs enchantements. Il s’intéresse rapidement aux poètes comme Baudelaire, Joe Bousquet, Gainsbourg et bien d’autres encore qui influeront beaucoup sur ses écrits. Quant à ses lectures, elles variaient en fonction des saisons, des œuvres du Marquis de Sade pour aller jusqu’au Capital de Karl Marx en passant par l’œuvre complète de Fiodor Dostoïevski qui devint rapidement son auteur fétiche. Ces romans métaphysiques centrés sur la question angoissée du libre arbitre et de l’existence de Dieu ne tardèrent pas à interférer dans les textes toujours plus décadents qui commencèrent à couler sous sa plume.
L’adolescence est une période fragile durant laquelle on remet tout en question : l’autorité, la morale, les mœurs, l’Église, la société en général. Aussi, plonger dans l’univers de Fiodor Dostoïevski à ce moment-là, alors qu’il avait déjà des pulsions le poussant vers une sexualité non conventionnelle, ne pouvait que donner naissance à un libertin amoureux de sa plume, teinté d’un romantisme qu’il masquera par pudeur, romantisme dramatique, marqué par toute cette littérature russe qui berça sa jeunesse.
Adulte, la vie l’entraîne à faire des séjours dans d’innombrables bras féminins, lui faisant découvrir par la même occasion quasiment toutes les régions de France et parfois même des contrées bien plus éloignées. Très vite, quelques amies appréciant ses poésies et les récits qu’il lui arrive de faire de ses rencontres, lui réclament un roman. C’est ainsi qu’est né Je t’aime, moi non plus.


de : océane
objet: commentaire
à: max…
je ne sais par ou commencer,
Rien que de l’avoir finit je ne fais que penser à la suite que j’ai hâte de lire, c’est la première fois qu’un livre me chamboule ainsi, entre l’amour et la haine il n’y’a qu’un seul pas comme on dit, mais cette amour que Wélia ressent envers max est si forte je ne sais si j’aurais pu faire la moitié de ce qu’elle a fait. Max lui j’ai eu du mal a le cerner au début et par la suite j’ai pu voir l’amour que lui ressentait mais qu’il essayer de dissimulé à chaque fois. XXSPOILEDXXSPOILEDXXSPOILEDXXSPOILEDXXSPOILEDXXSPOILEDXXSPOILEDXX
Je crois que moi aussi je n’aurais pas pardonner cela. MAX TU AS FAIS DU NIMPORTE QUOI BORDELLLL !!!
Une histoire aussi forte et tellement bien raconter, au bout d’un moment j’vais l’impression que c’était la mienne. ( ceci est-il normal ??? )
J’ai pu également découvrir certaines choses dont je ne soupçonnais de loin l’existante de tels méthodes d’un niveau 10 HAHA.
Je n’ai que 19 ans on va me dire, mais je l’avoue que certaines choses on fait sonner une petite cloche dans ma tête, comme si que j’avais envie de le vivre. oupssss je devrais sans doute m’arrêter ici.
mais je suis si heureuse d’avoir enfin trouver un livre qui me passionne autant, et me donne l’envie de lire chaque instant du réveille au coucher !
merci à vous max…
Je vous avais prévenu, c’est un livre à lire d’une main 🙂
19 ans… diable, comme vous êtes jeune! ça vous donne idée de ce qu’on peut faire plus tard quand on est las d’avoir fait le tour de la question. Etre avide de nouvelles sensations peut mener sur les chemins escarpés de plaisirs non soupçonnés jusqu’alors.